Fin décembre
Invariablement, en décembre, mon agenda s'emballe. Invariablement en décembre les journées sont longues, longues. Invariablement en décembre, je me dis qu'il me faut prendre des vacances et c'est ce que je fais, mais les vacances, c'est pour dans 10 jours. Alors en attendant je gère cet agenda qui devient complètement ingérable, me demandant, de passer de rendez-vous en rendez-vous, de faire des déplacements par monts et par vaux (orthographe non certifiée), qui m'entraînait hier dans mon plus gros site de la région (pour jouer comme d'habitude les pompiers pyromanes), puis sur un autre moins important puis sur Paris aujourd'hui, ce qui explique que je "post" aux aurores avec les yeux encore embués de sommeil.
Paris donc ce jour pour la grand messe annuelle avec le co-dir. Allélouia. On va brasser des chiffres, on va opiner du chef (oui, Ah ?, oui, oui ! Ah !) et on va se séparer en se disant que ça ira mieux l'année prochaine.
Puis retour demain en province, pour enchâiner par l'un des grands événements de mon année musicale : générale du concert de dimanche (oui, oui, même le dimanche mon agenda me monopolise). Dimanche ce sera donc, Gloria de Vivaldi en l'église de Céret, avec orchestre s'il vous plait ! Un peu de tension tout de même puisque nous n'avons officiellement rencontré le chef qui va nous diriger que lundi dernier (un drôle de personnage d'ailleurs, il aurait bien mérité un post celui-là). Mais là on est dans le domaine du plaisir, alors...
... Alors je fonce réveiller beaux yeux bleus qui dort profondément, pour qu'il me véhicule à la gare...