Une place au soleil
En mettant en ligne cette nouvelle catégorie (inaugurée avec les Tontons Flingueurs il y a peu), je souhaitais faire partager mes émotions cinéphiliques... Bienvenue dans mon cinéma mental !
Un film, mais pas n'importe lequel, une place au soleil de Georges Stevens (1951). Ce film est l'un des rares films à m'avoir arraché de véritables larmes. Les films de mon panthéon personnel sont, paradoxalement, ceux qui ont réussi à me faire verser une larme, ou deux, ou trois... voire bien plus !
Je garde un souvenir très diffus, mais néanmoins dense de l'émotion qui m'avait étreint lors du visionnage du film. Il y avait notamment une scène, vers la fin, où Montgomery Clift est emprisonné et où Liz Taylor vient lui rendre une dernière visite avant son exécution : prenant, déchirant...
Je garde un souvenir très diffus, mais néanmoins dense de l'émotion qui m'avait étreint lors du visionnage du film. Il y avait notamment une scène, vers la fin, où Montgomery Clift est emprisonné et où Liz Taylor vient lui rendre une dernière visite avant son exécution : prenant, déchirant...
Petit synopsis du film...
Élevé par une famille sans le sou, George (Montgomery Clift) est tiré du ruisseau par un oncle richissime qui lui offre un emploi dans son usine. Là, George emballe des chemises… et fait un enfant à Alice (Shelley Winters), une jeune ouvrière qui le supplie de l’épouser. Mais George a fait entre-temps la connaissance d’une femme de la haute société, Angela (Elizabeth Taylor), dont il est tombé amoureux fou. Empêtré dans sa double vie, George perd la tête.